L'épidémie de Covid-19 a frappé la France de manière très violente et a mobilisé l'ensemble du secteur médical pour venir en aide aux personnes touchées par le Syndrome d'apnées du sommeil.
Cette mobilisation générale a entraîné un retard important dans la surveillance des maladies autres que Covid.
Trois à quatre millions de personnes ne sont toujours pas diagnostiquées. Cependant, cette pathologie représente un facteur aggravant dans le cas des patients atteints de Covid.
En effet, il a été démontré que, lors de la contraction de la grippe H1N1 en 2003, le risque de mortalité était aggravé par un problème d'apnée du sommeil (AOS) et que la grippe H1N1 faisait partie de la même famille que les Covid-19 (coronavirus) ). Ainsi, les conséquences liées à l'apnée du sommeil comme l'hypertension, le diabète ou les risques cardiovasculaires sont des facteurs aggravants lors d'une contamination virale SRAS / COVID1.
La crise de Covid a profondément modifié la prise en charge des patients apnéiques. En effet, les examens diagnostiques ont été annulés dans les hôpitaux et les cabinets médicaux avec une prolongation des délais déjà très longs. il existe des traitements efficaces pour cette pathologie, notamment des traitements à pression positive continue et au laser sur le palais mou, sous anesthésie locale, en ambulatoire, comme une simple consultation dentaire.
Ces traitements ont fait l'objet d'une validation clinique et d'une reconnaissance réglementaire quant à leur efficacité compte tenu de la situation exceptionnelle que nous traversons.
De même, lorsqu'une orthèse d'avancement mandibulaire est proposée, les cabinets dentaires en cours de réouverture ne peuvent, en ce qui concerne le respect des règles sanitaires renforcées, recevoir que la moitié voire le tiers de leurs patients. Ainsi, un patient bénéficiant d'une prescription d'orthèses sur mesure ne peut être reçu qu'après une longue période.
Lorsque la crise de Covid retarde le traitement des patients apnéiques plus longtemps que ceux observés avant la crise, soit environ 3 à 6 mois selon les régions.
Encore une fois, le laser est particulièrement adapté à la prise en charge de ces patients. Le laser: une solution recommandée par les médecins américains Les patients atteints de Covid et traités par pression positive continue (CPAP), malgré les filtres spécifiques en place, constituent un risque pour leur entourage. La valve d'expulsion sur le masque qui élimine le CO2 représente un risque très important d'aérosolisation du virus. Ce risque est d'autant plus renforcé que le patient bouge son masque pendant la nuit, ce qui entraîne des fuites importantes.
Les médecins américains recommandent actuellement le laser. Le laser afin d'offrir une solution alternative à leurs patients sous CPAP, contaminés par le virus Covid afin de réduire les risques d'aérosolisation pendant leur cicatrisation.
Le laser apporte une solution simple, économique et efficace aux problèmes liés au ronflement et à l'apnée du sommeil. Le laser a fait l'objet d'études cliniques reprises par plusieurs revues médicales internationales validant ses bienfaits. Déjà des dizaines de milliers de patients l'ont adopté!